Vous savez maintenant que le numérique possède un impact enivronnemental. Vous souhaitez passer à l’action, mais vous ne savez pas forcément comment ou quelles sont les actions qui ont le plus d’impact. C’est normal, les impacts environnementaux proviennent de sources diverses et ont des impacts variés (émissions de gaz à effet de serre, consommation d’eau, pollutions des sols, de l’air…)
Pour y voir plus clair, Simbios vous propose un audit environnemental de vos services numériques. On appelle cela une Analyse du Cycle de Vie ou ACV pour faire plus court. Cette méthode est normée ISO 14040/44 et le consultant est certifié .
Définition du cadre de l’étude
La première étape de cette analyse va constiter à cadrer les objectifs, mais surtout le périmètre d’application. Cela peut être :
- un produit
- une entreprise / un département / une filliale
- un site internet ou une application
Inventaire
Cet audit porte le nom d’Analyse de Cycle de Vie car il s’intéresse à l’ensemble des étapes nécesaire pour que le champ étudié puisse fonctionner. On va donc ici faire l’inventaire exhaustif possible des entrants et des sortants. Cela inclut :
- Fabrication
- Distribution
- Utilisation
- Fin de vie
Evaluation des inmpacts environnementaux
Il est maintenant nécessaire de retranscrire toutes les étapes répertoriées dans l’inventaire en impacts environnementaux. Ces impacts peuvent être mesurés suivants différents critères :
- Contribution au réchauffement climatique
- Pollution de l’eau
- Consommation en eau
- Epuisement des ressources naturelles
- Acidification terrestre
- Destruction de la couche d’ozone
- Radiations
- et plus encore !
Interprétation
Maintenant que toutes les données sont présentes, il s’agit de les mettre en forme pour leur donner un sens. Dans cette étape, on s’attachera à identifier les principales sources d’impact environnemental et à catégoriser au mieux les étapes clés.
Dans certains cas, nous pourrons comparer les résultats obtenus avec d’autres Analyses de Cycle de Vie (trouvées dans la littérature, basée sur un produit similaire ou d’années précédentes).
Il sera aussi question des limites de cette analyse (précision des résultats, domaines non étudiés…).
Enfin, on pourra travailler sur l’approche optimale de communication des résultats (en interne et éventuellement en externe).
Mise en place d’une stratégie de réduction
Maintenant que l’on connait les coûts environnementaux du champ étudié, il est possible de bâtir une stratégie de réduction de l’empreinte. On voit cela dans l’étape suivante.